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L'histoire : avant de devenir Wonder Woman, elle était Diana, princesse des Amazones, entraînée pour être l'une des plus féroces guerrières que la Terre ait portée. Elevée sur une île perdue digne d'un paradis, elle est mise au courant de la guerre qui règne dans le reste du monde par un pilote américain qui s'est écrasé sur la côte. Décidée à arrêter la menace qui pèse sur la planète, Diana va découvrir au combat toute l'étendue de ses pouvoirs... et sa vraie destinée. La musique : la bande-originale de ce film a été composée par Ruper Gregson-Williams, compositeur anglais connu pour son travail sur "Hotel Rwanda" (2004), "La Légende de Tarzan" (2016) ou encore "Hacksaw Ridge". Pour cette nouvelle bande-originale, Rupert Gregson-Williams a coopéré avec Hans Zimmer, qui a lui-même composé le theme principal du film avec Junkie XL.

Composées au moment de périodes chaotiques dans la vie des compositeurs, les Sonates pour violoncelle sont des oeuvres porteuses d'un message de vie. La saisissante Sonate de Rachmaninov, composée suite à une dépression nerveuse, est comparable à son très apprécié Second Concerto pour piano : un voyage d'une mélancolie troublante avec un magnifique mouvement lent. Prokofiev, quant à lui, a écrit son extraordinaire Sonate tandis qu'il faisait face à des épreuves difficiles. On assiste, tour à tour, à des passages émouvants et à des passages comportant une certaine retenue du point de vue du lyrisme; le splendide mouvement final clôture l'oeuvre avec brio.

Avec ce huitième album studio, Frédéric, Francis et Philippe abordent avec humour les "bugs" du quotidien des enfants de 3 à 10 ans : la petite soeur capricieuse, le grand frère paresseux, les bêtises faites avec les copains, les poux ravageurs... et bien d'autres petits grains de sable qui font que la vie, ça ne va jamais comme on veut, mais si on s'y prend bien, on s'en sort quand même !

Yannis a survécu au virus U4 mais ses parents et sa soeur sont morts. Lorsqu'il sort de chez lui, terrorisé, il découvre la ville de Marseille assaillie par les rats et les goélands. Tandis que des bandes prêtes à tuer patrouillent, le jeune garçon parvient à se cacher et décide de s'enfuir vers Paris. ­Electre 2019

Il s'installe à Paris début 2020. Loin de l'effervescence propre à la capitale, il débute l'écriture de son troisième album dans l'intimité et le calme de sa cuisine. Après un nouveau crochet par Berlin, ville toujours présente dans sa toile de fond musicale, le natif de la Croix-Rousse s'installe en région lyonnaise, à l'écart de l'agitation urbaine, en septembre 2020. Et c'est à la campagne, dans ce lieu isolé où le temps est suspendu et le monde à l'arrêt, que Raoul Vignal enregistre Years in marble. Avec pour seuls comparses Lucien Chatin (batterie) et Matteo Fabbri (ingénieur du son), il tisse des compositions envoutantes aux teintes claires et aux tempos plus enlevés. Plus hypnotique que jamais, la musique de Raoul Vignal est tout à la fois hors du temps et très actuelle, suspendue et profondément en nous.

Le dernier album de Bon Voyage Organisation, La Course (2020), est sorti pendant le confinement. Bon Voyage Organisation est avant tout l'histoire de la construction d'un ensemble, la quête de l'harmonie par la musique, entre les êtres. Émancipé de toutes contraintes et affirmant le choix radical, amorcé avec La Course, d'une musique entièrement instrumentale, (Loin des) Rivages a été enregistré sur cinq jours en juin 2020 au Studio Atlas de Jean-Benoît Dunkel (Air) et mixé l'été suivant par Adrien Durand dans son studio Parisien, Bureau 12. Une performance si l'on considère que l'ensemble des dix morceaux qui le compose ont été joués entièrement en live, réunissant jusqu'à treize musiciens dans une même pièce. Prenant exemple sur les grands explorateurs de l'âme (Sun Ra, Moondog, Coltrane) dont une reprise de son "Naïma" ouvre l'album ; Adrien Durand mélange les premiers instruments des hommes (les percussions et les vents) aux derniers (les tables de mixages et les synthétiseurs) pour entamer le plus périlleux des périples : le voyage intérieur, (Loin des) Rivages donc, de la civilisation et de ses normes, dans cette jungle de l'âme que représente à merveille la pochette de Clément Vuillet, au coeur de ce que certains prennent pour de la folie.